Les réactions continuent par pleuvoir pour condamner le « pouvoir Diendéré ». Dans un communiqué, le Groupe International de Soutien et d’Accompagnement à la Transition au Burkina Faso  (GISAT-BF),  » rejette l’interruption du processus démocratique et exige la libération des otages détenus depuis le 16 septembre « .

Tout en réaffirmant son « plein » soutien au CNT(Conseil national de la transition) en cette période cruciale pour l’avenir du Burkina Faso, les pays et les organisations membres du GISAT-BF, sous la co-présidence de la CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations Unies, mettent en garde  » les auteurs du putsch, qu’ils seront tenus responsables de leurs actes et de toutes les conséquences de ce coup de force « .

La France, L’organisation internationale de la Francophonie et l’Union Africaine, ont eu déjà à dénoncer cette prise de pouvoir par l’armée au Burkina Faso.

Voltic Togo