Participant at the 2017 Global Media forum

Les réseaux sociaux sont devenus des canaux par excellence pour faire véhiculer ses messages. Mais souvent certains sont empreints de haine, contiennent des propos d’incitation à la haine, au tribalisme, de la vilenie, de la xénophobie et bien d’autres qui n’encouragent pas le vivre ensemble. Des voix s’élèvent sur le continent africain pour faire barrage à ce fanatisme qui va crescendo surtout dans la masse.

La polarisation des sociétés du monde et surtout africaine a fait naître une autre forme d’utilisation des réseaux sociaux. Pendant qu’un groupe défend une idée, l’autre est plus que prêt pour en découdre avec, même si par des voies contournées et dans beaucoup de cas, peu orthodoxes.

Et pendant longtemps, les régimes dictatoriaux sont toujours indexés parce-que mettant soit en place des filtres de censure, soit donnant des moyens à des partisans pour faire diversion. Le constat a une fois encore été fait lors de la 10ème conférence du Global media forum.

D’un autre côté, un constat s’est dégagé, les régimes dictatoriaux oui, mais pas que. Sur le web, ils sont de plus en plus nombreux ces groupes organisés qui se servent des réseaux sociaux pour appeler à la violence.

C’est bien le cas du Nigeria où des indicateurs sont au rouge avec surtout la religion comme dénominateur commun.

https://twitter.com/SirNige/status/877186530003099649

Dans des pays comme le Zimbabwé, des activistes s’organisent pour encourager l’utilisation des réseaux sociaux pour semer des graines de cohésion nationale, comme le précise si bien, Nigel Mugamu,

De manière unanime, des web activistes appellent à plus de tolérance sur les réseaux sociaux.

Voltic Togo