Ouagadougou abrite les 1er et 02 août 2018, une rencontre régionale sur le cancer. Il s’agit d’un séminaire des premières dames axé sur les programmes de plaidoyer dans les États membres du groupe d’Afrique de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). Certains pays d’Afrique dont le Togo, seront absents, bien qu’étant membre depuis 1997.
Cette rencontre a pour objectif de renforcer les capacités des premières dames en matière de leadership et de plaidoyer, en lien avec la promotion de la sensibilisation à la lutte contre le cancer, a indiqué Sika kaboré, l’épouse du président du Burkina Faso.
Ce séminaire va permettre de présenter l’état des lieux de la maladie et d’identifier les voies et moyens par lesquels les premières dames pourront renforcer leur leadership dans la lutte. Les premières dames seront également édifier sur les opportunités et les meilleures pratiques dans la recherche de financement, selon les explications de Mme Kaboré.
La rencontre va aborder aussi des questions de tenue des registres, de la planification et du contrôle du cancer.
Sont attendues dans la capitale burkinabé, une dizaine de première dames venues notamment du Bénin, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, de la Gambie, de la Guinée, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Mozambique, du Niger, du Nigeria, du Sénégal, de la Sierra Leone, du Tchad et de l’Ouganda.
‘Le Togo absent des Premières Dames à Ouaga’
Le régime tyrannique et diabolique qui, au Togo ronge tout un peuple depuis 1967 n’est-il pas cet autre cancer dont il est question?
En toute certitude, les Togolais luttent contre un cancer mortel, ce cancer, c’est cette clique de terroristes, de malfrats et autre racistes et esclavagistes qui perturbent l’existence, la vie des générations d’êtres humains au Togo en assassinant, en détruisant, en brûlant.
Oui, les dictateurs et leurs soutiens racistes sont cancérigènes. Ce sont de vrais cancers.
Cela dit, parler de l’absence du Togo, c’est trop dire, car, la première Dame du Burkina Faso, est Togolaise.