La liberté d’expression est mise à mal au Togo pendant les périodes de crise. C’est ce que révèle le Centre de recherche et de sondage d’opinion (CROP), filial d’Afrobaromètre. Les résultats de cette enquête ont été disséminés le 20 Juin 2018 à Lomé.
Selon cette dernière enquête, la liberté d’expression des togolais a connu une chute drastique depuis 2014. Elle révèle que seulement 39% des togolais se sentent libres d’exprimer leurs opinions, alors qu’ils étaient 60% en 2014. Ceci place le Togo au dernier rang des 13pays africains où le même sondage a été fait.
La chute du niveau de liberté d’expression touche différemment les régions du pays. La région la plus touchée est celle de la centrale, avec un déclin de 30 points, contre 21 pour l’ensemble. Pour les premiers responsables du Crop, ceci est une indication que la chute du niveau de liberté d’expression pourrait être imputable à la crise sociopolitique actuelle que traverse le pays.
« La qualité des institutions et le niveau de la démocratie et de liberté publique deviennent une réalité que lorsque, même en période de crise, l’on s’attache à la loi », a dit directeur national du CROP, Hervé Akinocho et d’ajouter que si les citoyens d’un pays ne sont libres d’exprimer leurs opinions que lorsque tout va bien alors, on peut considérer que cette liberté n’est une réalité.
Le même sondage souligne que 45% des togolais pensent que ce sont les électeurs en premier lieu qui doivent s’assurer que les conseillers municipaux ou communaux font leur travail bien loin devant les autres mécanismes institutionnels. 62% déclarent qu’il est quelque peu probable ou probable qu’ils participent aux réunions publiques organisées par leur commune pour comprendre comment les fonds des contribuables sont utilisés ou pour influencer les actions du conseil communal.
Bien que 58% des femmes et 54% des résidents en milieux urbains sont prêts à donner de leur temps pour le contrôle citoyen, plus de 66% des hommes et 67% des résidents ruraux sont prêts à s’engager dans ce contrôle. Les togolais, quel que soit leur niveau d’éducation, sont prêts à s’engager pour le contrôle de l’action des élus locaux.
Afrobaromètre est un réseau de recherche panafricain et non-partisan qui mène des enquêtes d’opinion publique sur la démocratie, la gouvernance, les conditions économiques et les questions en Afrique.
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‘La liberté d’expression est mise à mal au Togo pendant les périodes de crise.’
Pour qu’une chose soit mise à mal, il faut que cette chose ait une existence réelle. Or, le Togo étant une dictature sanglante depuis plus de cinquante ans, la liberté d’expression n’a jamais existé au Togo. Ainsi, avancer l’idée que la liberté d’expression est mise à mal au Togo pendant les périodes de crise revient à affirmer une méconnaissance de la réalité du Togo.
Le principe à la racine de la dictature, c’est bien la peur, faire peur, susciter la peur par la violence, les assassinats, etc. Ainsi, la relation entre un peuple et un régime tyrannique, diabolique et terroriste tel celui du Togo, est une relation faite de silence ou de violence. C’est à dire, lorsque le peuple meurtri se tait dans sa souffrance, tout va bien pour lui. Mais lorsqu’il rouspète, cris sa douleur, la violence lui est opposée.
C’est donc une induction fausse de confondre, le silence déterminé par la peur et la stabilité structurelle. Le Togo est une structure dictatoriale. Il n’y a pas de liberté d’expression dans une dictature. La liberté d’expression caractérise la démocratie, l’opposée même de la tyrannie qu’est le Togo.
Comme quelqu’un l’a dit, ‘Lorsque la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie.’
La préoccupation centrale pour nous peuple Togolais, est le départ de Faure Gnassingbé qui n’a aucune légitimité si ce n’est celle de la violence, de l’assassinat, du mal. Il doit DEGAGER à la fin de ce ‘mandat’, à dire, en 2020.