L’association Sikota a organisé une conférence débat sur les conditions des femmes artistes dans la société ce 6 septembre 2018 à Lomé. Ceci, dans le cadre du festival international de danse « Nikaala » pour appeler à une prise de conscience des femmes.
Selon les organisateurs, il s’est agit d’inciter les femmes à se mettre en avant, à avoir confiance en elles-mêmes et à s’affirmer peu importe sa profession.
Plusieurs femmes de différents nationalités, professions artistiques et des leaders d’ONG étaient présentes à cette conférence placé sous le thème « la place de la femme artiste dans la société ».
Mikafui Akue juriste de formation et bloggeuse en faveur des droits de la femme a fait comprendre aux participants que l’art artistique est un moyen d’engagement pour défendre ses droits en tant que femmes. Elle n’a pas manqué d’évoquer des femmes de tout genre qui ont marqué le monde artistique. Pour elle, il est impérieux une prise de conscience, un changement de mentalités sur les rôles de la femme dans la société et éviter les préjugés sur le travail des femmes en tant qu’artistes.
« Nous avons besoin que les femmes puissent s’affirmer et s’imposent au même titre que les hommes dans toutes les sphères de décisions et dans tous les domaines » a martelé Mikafui Akue. Elle estime qu’il est aberrant de reléguer encore au 21ème siècle, les femmes au second rang.
Nikaala, le festival international de danse est à sa première édition. Selon son initiatrice Germaine Sikota, c’est une plateforme de valorisation des œuvres artistiques et culturelles féminines. Pour cette première édition, cinq pays d’Afrique y participent notamment le Mali, la Cote d’Ivoire, le Benin, le Burkina Faso et le Togo.
Durant ces trois jours, plusieurs spectacles vont se succéder à l’institut français de Lomé et à l’espace level.
« Nikaala » qui signifie « je danse » en langue Akposso, une ethnie togolaise, se déroule du 6 au 8 septembre 2018.
Il faut qu’elles se rebellent contre ce régime des terroristes aux mains des racistes et esclavagistes qui représente la mort et la souffrance au Togo et ce depuis 1967.
Il faut que ces femmes prennent conscience de ce que la France dont l’institut à Lomé sert de cadre de ces manifestations est ce pays où cette sanglante dictature a les moyens, après avoir tué au Togo, de détruire des vies togolaises en France par le biais des Français. Ces Français hypocrites et menteurs qui sont aux ordres des criminels Tooglais tels les djihadistes Yacoubou Boukari et son beau fils Razak.
Il faut qu’elles prennent conscience de ce que nous avons affaire à des terroristes.
Il faut qu’elles rejettent les illusions du corrompu Pacôme Adjourouvi qui à Lomé s’arroge le droit de parler au nom de la jeunesse du Togo.
Togo : Nikaala, pour une prise de conscience des femmes
Il faut qu’elles se rebellent contre ce régime des terroristes aux mains des racistes et esclavagistes qui représente la mort et la souffrance au Togo et ce depuis 1967.
Il faut que ces femmes prennent conscience de ce que la France dont l’institut à Lomé sert de cadre de ces manifestations est ce pays où cette sanglante dictature a les moyens, après avoir tué au Togo, de détruire des vies togolaises en France par le biais des Français. Ces Français hypocrites et menteurs qui sont aux ordres des criminels Tooglais tels les djihadistes Yacoubou Boukari et son beau fils Razak.
Il faut qu’elles prennent conscience de ce que nous avons affaire à des terroristes.
Il faut qu’elles rejettent les illusions du corrompu Pacôme Adjourouvi qui à Lomé s’arroge le droit de parler au nom de la jeunesse du Togo.
Togo : Nikaala, pour une prise de conscience des femmes
Pour cela il faut qu’elles se rebellent contre la dictature, c’est à dire ces terroristes aux mains des racistes et esclavagistes qui ruinent des générations au Togo.
Il faut qu’elles prennent conscience de ce que en France dont l’institut à Lomé sert de cadre à ces manifestations est ce pays où la dictature, cette sanglante dictature a les moyens de détruire des vies togolaises par le biais de ses supporteurs Français qui sont aux ordres des assassins Yacoubou Boukari et de son beau fils Razak.