Abidjan multiplie les efforts pour que les hôpitaux ivoiriens n’aient plus de problème de pénurie de sang. Pour une autosuffisance, le gouvernement appelle à une solidarité nationale.

En Côte d’Ivoire, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), chaque jour, près de 800 femmes meurent de complications de la grossesse ou de l’accouchement, liées en majorité à une pénurie de sang.

Pour le ministère de la santé, il est aujourd’hui impérieux que toute la population se mobilise et qu’une action de masse soit véritablement menée. Le gouvernement mise aussi sur le foisonnement des donneurs mais aussi sur des clubs de donneurs de sang qui sont aujourd’hui présents dans de nombreuses écoles, des lieux de culte et dans certaines entreprises.

A tout cela va s’ajouter l’ouverture de nouvelles antennes de transfusion sanguine dans plusieurs régions du pays dont Séguéla (nord), Odienné (nord-ouest) Daoukro (centre), Man (ouest), Guiglo (ouest) et Adzopé (sud).

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