Agbéyomé Kodjo en campagne le 9 février 2020

Le 20 février 2020 à minuit marque la fin de la campagne présidentielle du 22 février. Mais, plus on s’achemine vers la fin, des couacs ou encore des incidents remontent à la surface. Le candidat de la dynamique Kpodzro, Agbéyomé Kodjo, en a fait cas et balaie d’un revers de mains, les propos du ministre togolais de la sécurité et de la protection civile, Yark Damehame.

Selon le ministre Yark, Agbeyome Kodjo et l’archevêque émérite de Lomé, Mgr Fanoko Kpodzro ont décliné la protection de leur convoi par les éléments de la Force spéciale présidentielle (FOSEP) 2020 à qui incombe cette mission.

Mais, dans un communiqué de presse parvenu à la rédaction d’Africa rendez-vous, Agbéyomé Kodjo a désavoué le ministre Yark, estimant que ses propos « n’ont rien à voir avec la vérité ».

« En aucun moment, ni l’un (Agbéyomé Kodjo ndlr), ni l’autre (Mgr Kpodzro) n’a été contacté pour un quelqconque déploiement des forces de l’ordre pour assurer leur sécurité en cette période électorale comme le prétend le ministre« , peut-on lire dans le communiqué, signé du candidat Kodjo, le 16 février 2020.

Le 18 février 2019, la rédaction d’AFrica rendez-vous a été encore saisie par l’équipe de campagne de Agbéyomé Kodjo, soulignant que le convoi a été bloqué par des militants du parti présidentiel, UNIR.

Voltic Togo