Agbéyomé Kodjo, candidat à la présidentielle de février 2020 au Togo est libéré ce 24 avril 2020. Il est placé sous contrôle judiciaire, de même que Brigitte Kafui Adjamagbo Johnson tous deux écoutés dans la même affaire. Fulbert Attisso, directeur de campagne , Marc Mondji, l’assitant de Mgr Kpodzro et l’ancien député Targone Sambiri ont été aussi relâchés, sous conditions. .
M. Kodjo a été présenté devant le procureur de la république le 24 avril 2020, lui qui revendique toujours une victoire volée.
Il leur est demandé de s’abstenir de tous propos, déclarations, ou attitudes, tendant à remettre en cause les résultats du dernier scrutin présidentiel du 22 février 2020. Tout déplacement hors du pays doit recevoir, une autorisation expresse. Aussi, ils sont astreints à déférer aux différentes convocations aussitôt qu’il en sera requis.
Agbéyomé Kodjo a passé trois nuits au Service centrale de renseignement et d’investigations criminelles (SCRIC).
A se fier à un témoignage rapporté par sa fille ainée, Essy Kodjo, Agbéyomé Kodjo souffre d’une sciatique lombaire et, pour tous ses déplacements de la villa dite Nanimo où il est gardé, il était porté par des agents.
Agbéyomé Kodjo, candidat à la présidentielle de 2020, a manqué à deux convocations au SCRIC et s’est fait représenter par ses avocats. La veille de la troisième convocation, un armada militaire s’est positionné aux alentours de sa maison dont le portail a été défoncé le lendemain par un char d’assaut vers 9h, à en croire Jean-François Kodjo, un des enfants.
Les évêques du Togo avaient appelé les autorités judiciaire à relâcher M. Kodjo.
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