Il est 17h27 (heure locale), ce dimanche 06 mars 2016, en plein dépouillement, une militaire (un des éléments des forces de sécurisation de l’élection), se lève après être interpellée par son supérieur pour faire ramener l’ordre devant un poste de vote.  A sa levée tous ceux qui étaient derrière elle avaient leurs yeux rivés sur elle. Que se passe-t-il ? Sommes-nous demandés. Mais une fois que l’agent nous ait dépassé, nous avons compris pourquoi elle attirait les regards.

Dieu l’a bien doté, elle est nantie d’un postérieur généreux.

Après s’être acquittée de son devoir de faire revenir l’ordre, elle retourna s’asseoir. Lorsqu’elle quitta les jeunes, c’était le silence total. Ces derniers sont restés fixés sur le derrière de l’agent de sécurité, oubliant pour un court instant, le dépouillement.

A un jeune adolescent, la majorité à peine, de s’adresser aux jeunes « pétrifiés ».  » Les fesses vous ont fait oublier le dépouillement « , leur a-t-il lancé en Fon (langue locale), pour réveiller les jeunes du « sommeil profond » dans lequel ils ont été plongés par l’agent.

C’est le commentaire de l’adolescent qui a attiré l’attention de l’agent en question qui s’est rendu compte des « dégâts » qu’a causé son derrière.

Notre envoyé spécial de retour de Cotonou

Voltic Togo