La Police ghanéenneest déjà sur le qui-vive. Ils sont nombreux, ces hommes et femmes policiers à être postés à plusieurs point stratégiques de la ville. Leur mission, jouer au « Père Noël »; pas pour distribuer des cadeaux mais assurer la sécurité des populations.
Dans quelque jours, c’est les fêtes de fin d’année avec tout son lot de recrudescence de la délinquance, de braquages ou d’attaques à l’aide d’armes légères. Les autorités ghanéennes dans une perspective de limiter les dégâts, ont fait déployer des corps habillés sur les grandes artères de la capitale et dans les espaces à fortes affluences.
L’objectif, à en croire le directeur général des opérations de la police, le Commissaire adjoint John Kudalor, est de « lutter contre la criminalité ». Et pour parvenir à cette fin, selon Cephas Arthur, directeur des relations publiques de la police ghanéenne “ des équipements seront mis à contribution pour la cause” et des recrues de la police aussi associées. Déclaration faite le lundi dernier sur Tv3, une chaine privée ghanéenne. Et ceci, c’est sur toute entendue du territoire. Une action qui certainement va dissuadée les esprits malintentionnés d’opérer et les récalcitrants, coffrés.
Outre la police, la marine nationale très efficace et compétente est associée à cette opération. Notons qu’au mois dernier, novembre 2013 au cours d’une cérémonie au pays de Nelson Mandela ; Afrique du Sud, la marine ghanéenne a reçu l’Award de meilleure force navale de l’Afrique de l’ouest. Le prix, un trophée, présenté il y a quelques jours dans l’émission « New Day » sur Tv3. Leurs efforts ainsi couronnés.
Avec de petites vedettes navales, la marine va surveiller les côtes, les Beach où affluences, ambiances et danses se côtoient et s’assurer du meilleur des choses au cas contraire, intervenir.
Aussi faut-il ajouter que la population est constamment invitée à coopérer avec les forces de l’ordre et de sécurité en alertant le plus tôt possible celles-ci lorsqu’on trouve quelque chose d’anormal dans son lieu d’habitation ou sur le lieu de travail.
De notre collaborateur à Accra,