La pandémie de la Covid-19 a joué sur la pollution atmosphérique et contribué à l’amélioration de la qualité de l’air. C’est ce que la banque mondiale fait comme déduction, dans un article.

A en croire cette institution de Bretton Woods, le confinement imposé dû à la Covid-19 a fortement limité l’activité économique à l’échelle mondiale, avec pour conséquence involontaire la diminution de la pollution atmosphérique. Raison pour laquelle, elle croit que la qualité de l’air s’est améliorée dès l’apparition de la pandémie.

Il est relevé dans l’article de fortes réductions dans les niveaux de concentration de dioxyde d’azote (NO2) après la mise à l’arrêt des économies et ceux observés à la même période en 2019.

L’une des raisons a été la réduction considérable de la circulation pendant le confinement des engins qui sont considérés comme l’une des principales sources d’émissions de NO2.

Pour les experts de la Banque mondiale, la pandémie du Covid-19 a mis en lumière les progrès technologiques.

Voltic Togo