Je salue la lucidité et le courage du président Ougandais, Yoweri Kaguta Musseveni qui vient de valider la loi contre l’homosexualité, ne laissant aucune chance aux malheureuses injonctions de ce fils perdu de l’Afrique, j’ai nommé Barack Hussein Obama.

S’il est temps de reconsidérer les meilleurs éducations reçues de nos ancêtres, les Pères indépendantistes qui nous ont aussi montré les plus beaux fruits de la liberté, il est alors grand temps que nous exigions du respect vis-à-vis des pays occidentaux et qu’ils cessent leurs ingérences nuisibles dans les affaires politiques et ou affaires de société des Etats africains. Et aujourd’hui, je me réjouis d’un nouvel acte posé par Yoweri Kaguta Musseveni, qui comme Thomas Sankara, croit fermement que l’Afrique n’a de leçons à recevoir de personnes, encore moins des occidentaux qui s’érigent toujours en instructeurs.

L’homosexualité n’a jamais de racines africaines, donc de grâce, épargnez-nous. Un enfant égal un père et une mère ; une maman. Si le geste du président ougandais Musseveni m’a beaucoup fasciné, je me réjouis plus de ses déclarations sur le sujet. Morceaux choisis. « Les étrangers ne peuvent pas nous donner des ordres. C’est notre pays. (…) Ils doivent être avec nous, s’ils ne le veulent pas qu’ils gardent leur aide ». « Je conseille aux amis occidentaux de ne pas faire [du sujet] un problème » car « ils ont beaucoup à perdre ». « Imposer des valeurs sociales d’un groupe à notre société, c’est de l’impérialisme social. Maintenant, vous nous dites que nous devrions vivre comme vous. Pas du tout ! ». Voilà, un président qui sait sauvegarder les valeurs africaines, les meilleures valeurs morales…il est temps de mettre fin aux comportements démoniaques importés des civilisations étrangères. D’ailleurs les aides qu’ils proposent ne sont en réalité qu’une supercherie pour asphyxier financièrement les fils et filles d’Afrique et asseoir leur domination sur le continent noir, Thomas Sankara : « Nous encourageons l’aide qui nous aide à nous passer de l’aide. Mais en général la politique d’assistance et d’aide n’aboutit qu’à nous désorganiser, à nous asservir et à nous déresponsabiliser ». « La dette est une reconquête savamment organisée de l’Afrique, (…) pour que chacun de nous devienne l’esclave financier ». « C’est tout un système qui sait exactement ce qu’il faut vous proposer. (…) Ce sont des placements heureux pour les investisseurs ». Si la majorité des pays africains criminalisent l’homosexualité avec des prisons fermes (1 à 10 ans et plus) à la peine de mort (Nigéria, Soudan), la position de l’Union africaine sur le sujet est vivement souhaitée.

Par ailleurs, lorsqu’on me parle des droits de l’homme, cela m’amuse énormément. Celui qui prend des décisions réclamées par la majorité pour préserver une valeur morale, donner de bonnes éducations à la progéniture, n’est-il pas lui dans la logique ou dans la définition des droits de l’homme ? Les droits de l’homme doivent être perçus dans un sens unique, plaire à ceux s’agitent pour des futilités, des ignominies ?

Pour finir une question aux défenseurs de l’homosexualité, si vous arrivez à me répondre avec exactitude, me convaincre, demain, je deviens aussitôt Gay ou Homosexuel : « Seriez-vous nés si vos parents étaient homosexuels ? », Alors à vos plumes, prêts, partez…

Voltic Togo