Le coût de vie à Lomé reste moins cher par rapport aux autres villes ouest africaines. C’est ce qu’on peut déduire du classement 2018, du cabinet américain Mercer. Le rapport sur le coût dans les centres urbains montre que la vie devient de plus en plus chère à Lomé. La capitale togolaise est classée 134ème au plan mondial, contre 144ème l’année dernière.
Dans la sous région, Lomé est devancée par Cotonou qui occupe la 111ème place, Abuja 99ème, Accra 63ème, Dakar 62ème, Lagos 42ème et Abidjan 24ème.
Sur le plan continental, Luanda (Angola) garde sa première place, même si elle a perdu celle mondiale pour se retrouver à la 6ème position. Le rapport indique que ce recul de la capitale angolaise dans le classement est dû à la baisse sur le marché du logement, ainsi qu’à la dépréciation de la monnaie locale vis-à-vis du dollar. Ainsi Luanda est mieux positionnée pour attirer les capitaux étrangers, ce qui permet aux immigrants d’avoir un coût de vie plus accessible.
Parmi les villes les plus chères du continent, on retrouve N’Djamena (Tchad) qui occupe la 8ème place mondiale, suivie de Libreville (Gabon) 18ème, et de Brazzaville (Congo) 19ème. Pendant ce temps Windhoek (Namibie), se trouve carrément en bas de l’échelle avec sa petite 196ème place, sur 209 villes.
Pour cette année, le classement Mercer a analysé le coût comparatif de plus de 200 biens dans chaque municipalité incluant des composantes des secteurs du logement, des transports, de l’alimentation, de l’habillement, des articles ménagers et du divertissement.
‘Le coût de vie à Lomé reste moins cher par rapport aux autres villes ouest africaines.’
Oui, en y voyant la valeur qu’a la vie au Togo qui a pour capitale la ville de Lomé. Et la photo qui illustre ces écrits est révélatrice. Car, elle montre ce que le sanglant et meurtrier régime nomme ‘Colombe de la Paix’ construite sous le règne du tyran Eyadéma Gnassingbé. C’est à quelques mètres de cet endroit que les corps sans vie des Loméens assassinés par la dictature avaient été repêchés de la lagune de Bè. Le camp RIT où vivaient Eyadéma Gnassingbé et sa famille est juste à coté de cette place. Et c’est sur le terrain du camp, que les corps que les colonels Tépé et Améyi avaient été jetés après leur assassinat. Je peux continuer en disant que la maison de la famille du Commissaire Issah, le père de Kader Issah ancien petit ami de Siméonne Gnassingbé demie sœur de l’illégitime et violent Faure Gnassingbé et dont la vie été ruinée sur l’ordre de la dictature, est également à quelques mètres de cet endroit. Je peux également dire, c’est non loin de cet endroit qu’en Septembre 1986 des dizaines avaient été assassinés au motif de je ne sais quelle tentative de coup contre le tyran Eyadéma Gnassingbé. Ils avaient été tués dans une maison située derrière ce qui s’appelait à l’époque hôtel Oba Oba en face du CEG Tokoin Centre.
Alors oui, ‘Le coût de vie à Lomé reste moins cher par rapport aux autres villes ouest africaines.’ parce qu’à Lomé se trouve la pire dictature soutenue par la clique des racistes et esclavagistes.
Moins chère pour les étrangers mais pas pour les togolais qui y vivent