L’Etat togolais veut vite voler à la rescousse des personnes en détresse. Et pour y arriver, le gouvernement passe par les nouvelles technologies et va se doter d’un système de détection de détresse international par satellite Cospas/Sarsat du Groupe Thales Alenia Space basé à Toulouse. Un contrat vient d’être signé à cet effet.
Le Togo est le premier pays Africain et deuxième dans le monde, après le Canada, à s’engager à utiliser cette technologie qui se repose sur une station Meolut Next et qui permet de détecter des balises de détresse jusqu’à 5 000 kilomètres de distance.
« Cette station détectera et localisera tout signal de détresse déclenché par un bateau, un avion ou un porteur sur terre et contribuera ainsi au renforcement de la sécurité des biens et des personnes. Les performances de couverture inégalées que confère l’antenne à formation de faisceaux de cette station permettra au Togo d’assurer la réception des signaux de détresse Search And Rescue (SAR) sur une zone de plus de 3000km de rayon, couvrant ainsi tout le golfe de Guinée, et une large partie de l’intérieur du continent Africain« , peut-on lire dans un communiqué conjoint du service communication de la présidence et de Thalès, parvenu à la rédaction d’Africa rendez-vous.
« Cette station toute intégrée se compose d’une antenne à formation de faisceaux compacte, d’un centre de contrôle MCC (Mission Control Center) dédié à la gestion et à la diffusion des alertes et d’un Centre de Coordination des Secours assurant l’interface avec les systèmes existants en local ou dans les pays voisins (pompiers, armée, gardes côtes …)« , détaille le communiqué du côté de Thales Alenia Space.
A Lomé, le gouvernement se réjouit fort de cette signature. « La station MEOLUT Next de Thales Alenia Space s’intègrera parfaitement dans la volonté du gouvernement togolais de sécuriser en particulier le trafic maritime dans le golfe Guinée et de mettre en place un climat de sécurité sans faille indispensable au développement économique du pays et de toute la région », a dit le ministre togolais des infrastructures et des transports Ninsao Gnofam.
‘Le Togo à la rescousse des personnes en détresse’
Le Togo est ce pays où le régime, le même contre la volonté du peuple et ce, depuis 1967 a assassiné des centaines au Fréau Jardin à Lomé, des vingtaines tués et jetés dans la lagune de Bè à Lomé, des militaires accusés à tort d’être sensibles à l’opposition ont été tué à la Primature, des milliers arrêtés et disparus, des centaines massacrés en 2005, etc, etc. Un tel pays, et plus précisément un tel régime n’a besoin que d’une chose, changer comme l’exige le peuple Togolais. Un changement qui, de toute nécessité doit se matérialiser par une alternance, c’est à dire, le départ de Faure Gnassingbé à la fin de ce ‘mandat’, à dire, en 2020.
‘Le Togo à la rescousse des personnes en détresse’
Un mirage! Le Togo où un régime violent et complètement tyrannique et inhumain se dote de soutiens tout aussi violents et tout aussi inhumains pour mieux ruiner, maintenir tout un peuple dans la détresse sans appel depuis 1967, insulte la souffrance de la terre et la souffrance sur la terre en se disant ‘à la rescousse des personnes en détresse.’
La seule manière que le Togo, dictature sanglante de l’Afrique peut contribuer aux problèmes posés par la détresse humaine, est de changer, c’est à dire, de ne plus être la structure même de la détresse, à dire, une dictature.
Car, c’est simplement ridicule qu’un régime qui tue nos parents à Lomé et qui, en France en particulier à les moyens de ruiner nos vies, peut aller à la rescousse de l’Homme en détresse. Parce que ce régime ignore la douleur qu’il ne cesse d’engendrer.
Cette dictature est encore une fois dans les conditions de sa propre survie. Communiquer, courtiser, etc.
‘Le Togo est le premier pays Africain et deuxième dans le monde, après le Canada, à s’engager à utiliser cette technologie qui se repose sur une station Meolut Next et qui permet de détecter des balises de détresse jusqu’à 5 000 kilomètres de distance.’
Un Togo où un régime tyrannique, diabolique et terroriste qui, depuis 1967 s’est institué en source de détresse pour les générations, au Togo et à l’extérieur du Togo, n’a aucune crédibilité en se dotant d’une technologie lui permettant de détecter loin, très loin du Togo, le drame humain. Ce régime terroriste, oui terroriste se réfugie derrière ces questions pour justifier le mal qu’il représente pour le peuple Togolais. Un régime dictatorial qui n’a toujours pas compris que c’est dans l’être que l’homme peut espérer se réalise comme absolu.
Faure Gnassingbé devrait penser à la détresse de son propre frère Kpatcha Gnassingbé, de sa femme et enfants, de son frère jumeau Toyi Gnassingbé, détresse que constitue son emprisonnement depuis 2009.
Un régime composé de gens qui n’ont aucune moralité, qui tuent, détruisent, etc se fourvoie parce qu’il ignore la souffrance du monde et la souffrance dans le monde. Les plus de cinq cents innocents Togolais assassinés en 2005 lorsque Faure Gnassingbé prenait dans le sang la place de son père après ses trente huit ans d’un règne sanglant, sont des cas de détresses absolues.
Le Togo, par le fait des principes qui sont à la racine de ce régime diabolique et terroriste, est le premier pays où le premier coup d’état mortel a eu lieu dans l’histoire de l’Afrique. Le Togo avec ce régime est le seul pays en Afrique où le même régime, par la violence, les assassinats, les privations, etc a su se maintenir depuis plus de cinquante ans.
Le Togo, c’est à dire, ce régime terroriste est celui qui ne veut pas changer mais veut absolument ordonner pour le monde. Cette nouvelle ne trouve sa pertinence que dans la sottise de ceux et celles qui y voient une nécessité.
Le régime diabolique n’a que faire de la détresse des millions au Togo. Kpatcha Gnassingbé est la prison civile de Lomé. Il n’est nul besoin d’un satellite pour comprendre cette détresse. Il faut commencer par être.
Faure Gnassingbé doit DEGAGER à la fin de ce ‘mandat’, c’est à dire, 2020.